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Building a hackable world

Aujourd’hui, j’ai appris quelque chose.

Aujourd’hui, j’ai appris que je suis un hacker très pointu. Et oui !

En fait, au Mozilla Labs Café d’aujourd’hui, au milieu de plein d’informations sur les Labs, les add-ons et l’innovation chez Mozilla, j’ai retenu le sens du mot « hacker« . Dans son sens originel, « to hack » veut dire bidouiller, fouiner, etc. Bref, hacker un produit c’est chercher à trouver ses limites, le tester.

En nous expliquant cela, Tristan Nitot mettait en avant le fait de construire un monde « bidouillable » – « building a hackable world« – et de modifier plutôt que de consommer passivement.

Et c’est ça, Internet. Et c’est ça aussi qui me plait sur Internet, cette possibilité de s’approprier le média, les sujets, les outils et d’en faire un support totalement personnalisé qui réponde à nos attentes propres et précises … qui se trouvent être les attentes précises de milliers (?) d’autres personnes.

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Mise à jour du 06/10/2009 :

Et pour plus de détails, Tristan Nitot traduit l’idée et la définie : Bidouillabilité : une définition

(1) Outils – utilisée et modifiée sous licence Creative Commons.

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